Neil Stanberg [UC]

©JAVÁ

Neil Dov Eléazar Stanberg 30 ans Copenhague, DANEMARK Franco-Américaine Écrivain/Scénariste GOLDFINGER

"Je me présente, Neil Dov Eléazar Stanberg. Et oui je sais, cela se voit comme le nez au milieu de la figure, je suis bien issue d'une famille juive. Je crois que je dois avoir un humour douteux, surtout en ce qui concerne la famille. Je ne crache jamais dessus mais j'avoue ne pas adorer pleinement leur délire religieux. Ça ne m'intéresse guère. Moi mon truc, c'est l'art du mot. Je suis parfois réalisateur, on me prend pour un écrivain, certes, mais je suis aussi et surtout scénariste. J'aime l'écriture -et le 7eme art évidemment un peu aussi- et je me complais dans ma modeste tâche, à défaut d'aimer passionnément une femme.. encore. J'ai un succès franc et je dois dire que les critiques sont plutôt bons avec moi. C'est peut être mon aisance à parler aussi bien la langue de Molière que celle de Shakespeare qui me doit leur bénédiction. Je suis un sain vraiment. Un sain talentueux et tolérant, un peu comme le Dalaï Lama tout compte fait. Hein ? Simple figuration mes chers paires, ne nous méprenons pas.
Et parce que l'écriture fait écho à la solitude, je m’accorde tout de même quelques menus plaisirs, et il m'est donné de me distraire comme tout à chacun par des biais bien communs souvent. Ne croyez pas que nous sommes tous de ces Flaubert perfectionnistes, et bien qu'il m'arrive d'avoir mon lot de chipotages, vous me verrez souvent me noyer dans les cocktails et les fêtes kitchchic, à me pavaner savamment avec mes proches acolytes et quelques autres de ces illettrés couche tard. Je n’ai pas tellement l’essence d’une vedette grotesque, tenant plus de l’excentrique hors norme, je serais plutôt un grand mystère, le genre artiste sensible étant pour beaucoup je suppose.. Je suis une bulle de flou que vous aimerez très certainement à percer à jour. Et cette façade m’est propre, je ne suis pas tellement introverti vous savez, au contraire même, guère souvent morose, je profite de la vie mais les extravagance familières ne me vont pas. C'est à dire que tout de même, j'aime rire, je suis juste assez noir, réfléchi, taquin et cru dans mes paroles au premier abord. Un peu comme un guêpe croisé d’un porc-épic, je pique parfois douloureusement mais je détiens pourtant cette constante amertume dans mes faits et gestes. Tout ça peut être dans le but d'impressionner, de marquer le beau monde, j'aime être considérer comme un demi dieu vivant : Je suis une pelote nerveuse de charisme. Enfin, je crois avoir assez de tact pour paraître à souhait, inabordable, intouchable, écrasant de supériorité sans pour autant transpirer d’arrogance, rayonnant dans mes actes.. mais je n'ai probablement aucun problème à aborder au quotidien les termites que nous sommes. Parler est probablement une seconde nature chez moi, j'envoûte presque. D'ailleurs, pour anecdote, on dit souvent que je suis charmeur de serpents. J'aime bien ce genre, ça fait classe. Quand je parlais vaguement de femmes tout à l'heure, je ne dis pas que leur chair ne m'est pas indispensable. C'est plaisant les conquêtes, il faut l'avouer, mais je mettrais seulement un point d'honneur sur le fait que je ne m'attache que rarement. Je suis un peu ce beau focon(faux con), majestueux mais surtout libre. Et comme tout grand prédateur qui se respect, je reproduis le même genre de schéma infâme : je guette ma proie, la mange et en rejette aussitôt la carcasse. Je ne suis pas méchant, oh non, juste réaliste. Les niaiseries du type amour fougueux, coup de foudre je n'y crois pas. Et vous savez pourquoi je n'y crois pas ? Parce que je ne l'ai jamais encore connu.. Tout ce qui n’est pas connu, n’est donc pas susceptible d’exister? (vous allez me dire) Bonne question. Mais ça pour être rationnelle, je le suis ! (Alala la claque que je me prendrais prochainement vous ne pouvez imaginer un instant). Certains me diront beau parleur, rentre dedans, charmeur ou autre qualificatif moins glorieux mais je me nommerait juste en challengeur accolée à la mention d’insatisfait chronique, j'aime les défis, plus ingrats, plus complexes et exigeants sont ils, plus ils me plaisent. Je me fou un peu de la morale en quelques sortes. Je suis peut être le digne héritier de Truman Capote qui sait. Les défis, c'est amusant et un bon prétexte à tout lorsque l'on manque de courage pur, mais pas de couilles peut être.. Mais que voulez vous j’aime bien le genre épineux, en sachant que je suis un peu immunisé sur ce principe. Qui me frotte, se pique, souvenons nous des histoires de guêpes-porc-épics mutants. Infernal. Je suis. Oui. Et puis les goûts ne s’expriment pas rationnellement à la fin ! Est-ce que je vous demande pourquoi vous aimez les beignets au sucre et les pipes des vieilles charrues moi ?
Eh.. Le monde est bien fait. Je pense que j’en ai un contrôle certain, du moins une vision véridique. Analyser les gens est ma deuxième passion. Enfin cela relève certainement de mon extrême curiosité morbide. J’aime les poussez à bout et mon sens du défit ne se limite pas à ma seule personne et mes alentours concentriques. Non, je me repends partout, moi et ma malice. J’aime voir les gens s’énerver pour tout dire. Les grands débats où l’on se trouve en désaccord m’excitent. Il s’agit de trouver les bons mots au bon moment. C’est encore une bonne gageure d’être constamment à la pointe. (Pique pic).
Ceci mis à part, j’ai une bonne culture, et sachez que les patates et les choux fleurs n’ont rien à voir là dedans. J’aime être instruit, ce n’est pas donné à tout le monde et je suis fière d’être lettré et non affublé d’une paire de béquilles pour caler tant bien que mal mon petit nègre bancal à deux balles. Cru, je vous disais, j’avais tord ? Enfin ne vous avisez pas trop de me contredire, je suis assez rancunier pour vous détruire. De toute manière, j’ai toujours raison et c’est souvent ça qui exaspère les bons apôtres et qui euphorise la gente féminine. On a envie de me sauter à la gorge avoue t-on sans pudeur, et accessoirement de me violer par terre dans la poussière (qu’importe les cieux pourvu qu’on a l’apollon dira t-on).
Je suis stimulant.
Je suis chiant. Voilà tout.
Hep, et qu’on arrive un jour à me faire taire mes justes répliques et je ravale mon chapeau les amis ! Hum. Ah, et je ne sais pas si vous aimez la magie mais il m’arrive d’être un peu magicien moi aussi.."

Son juron préféré en voiture, à scooter, à pied…
→ Je dirais que Neil ne tolère que trop peu d’entendre tous les jours un abruti hurler à ses oreilles des insanités telles que "Jerk", "Fucker" (qui restent tout de même dans le domaine du soft) ou encore (plus corsés, puritains s’abstenir) "I told ya to go fuck your mother fucking bitch", "Shut the fuck up Dicky", "Screw ya Ass Hole" (et ceux même si elles ne lui sont pas destinées). Vraiment, il s’oppose formellement à cette forme de conformisme de l’insulte, même si l’on n’y vient tous un jour, il évite au maximum ces infamies.
Il utilisera donc des insultes brillantes et sophistiquées brisant ainsi toute forme d'aliénation à la vulgarité. Des expressions françaises pour le plus courant, telles que "Déchet", "Epave" ou encore des "Bigre", des "Fichtre" en veux tu en voilà, et parfois même de petits "Fuck", "Shit", "Poor Thing", "Geek" et autres commodités seront alors le ciment du Mur qu’il érigera contre cette médiocrité apparente. Old school vous dîtes ? Pas si sûr. Voyez vous, ces termes collent si bien au personnage qu’ils ne font qu’ajouter au charme mystique de l’individu Stanberg. Ah !
Un creux au milieu de la nuit ?
→ Une boite de gros cornichons sucrés arrosée de bière ahah.. peut être.
Au petit déjeuner il/elle ne pourrait pas se passer de…
→ Son café/clope.
Il/elle se damnerait pour…
→ Vivre dans le roman de Boris Vian, L'écume des jours.
Expert culinaire ou expert du chili con carne prêt en 5 minutes au micro onde ?
→ Pire ! Adepte du fast food et de la livraison rapide pour sûr. Et oui que voulez vous, on a tous notre pied dans la société de consommation..
Quand il/elle se regarde dans le miroir il/elle se dit…
→ "Bonjour"
Sa définition d’un “guilty pleasure”?
→ S'affaler à 1 heure du matin dans son fauteuil tout pourri pour regarder des rediffusions de télé réalité. Glips.
10,000$ à dépenser là, maintenant, tout de suite…
→ De nouvelles enceintes Naim ou une pute de luxe peut être.. Joke. J'essaie de vous dérider mais cela ne marche pas fort apparemment.

C'est un mordu de Jazz. Il n'écoute que des vinyles.
C'est un grand amateur de haute couture, et la maison Yves Saint Laurent est celle qui l'inspire le plus. D'ailleurs un de ses plus proches amis est le digne futur héritier de l'empire Saint Laurent, Tomass du même nom, mannequin. Il soutient par ailleurs fervemment un ami du métier Christian Lacroix, dans ses affaires judiciaires et est généralement très impliqué dans tout ce qui concerne la mode.
Et non il n'est pas homosexuel.
Il a constamment en poche un distributeur de PEZ et arrose ses plats de Reggae Reggae Sauce. Miam.
Par ailleurs, il n'aime pas vraiment les desserts, surtout lorsqu'ils sont trop sophistiqués. Non lui sont trucs c'est plutôt la Jell-o, vous savez ce semi flan-gélée d'origine anglaise de couleur bleu, verte, orange..
Il collectionne les machines à écrire.
Il a grandit avec les contes de Grimm et est un fan insoupçonné d'Elmo.
Il a chez lui un Doberman Pinscher nommé Duke (en rapport à Duke Ellington, pianiste, compositeur et chef d'orchestre américain) et un Python doré dit Rembrandt (Harmenszoon van Rijn) en l'honneur de cet immense peintre néerlandais.
Il ne boit que du vrai Coca, "le light c'est pour les gros." à affirmer Paris Hilton avec justesse.
Il affuble de surnom ridicule (tout est relatif) ses proches.. ou moins proches.

AVATAR : Hugh Dancy

SURNOM/PSEUDO : Javá
SEXE : Androgyne
AGE : Des poussières..
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Par Nana
COMMENTAIRES ? Prout.

Bienvenue^^

Dylan Shaw a écrit:Bienvenueeeee
Purée, Nana t'arrête pas de faire de la pub

Le problème avec mon excessivité (dans la pub et en général XD) c'est que je fatigue vite les gens

C'est à dire que tout de même, j'aime rire, je suis juste assez noir, réfléchi, taquin et cru dans mes paroles au premier abord. Un peu comme un guêpe croisé d’un porc-épic, je pique parfois douloureusement mais je détiens pourtant cette constante amertume dans mes faits et gestes. Tout ça peut être dans le but d'impressionner, de marquer le beau monde, j'aime être considérer comme un demi dieu vivant : Je suis une pelote nerveuse de charisme. Enfin, je crois avoir assez de tact pour paraître à souhait, inabordable, intouchable, écrasant de supériorité sans pour autant transpirer d’arrogance, rayonnant dans mes actes.. mais je n'ai probablement aucun problème à aborder au quotidien les termites que nous sommes.