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O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ]

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Blake Welinghton
Mallory Jones
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Anastasia Berkov
Samuel O'Bannon
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Message  Samuel O'Bannon Lun 17 Aoû - 20:02

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    Nom : O'Bannon
    Prénom(s) : Samuel Aiden Jude
    Né à / le : Bristol, Angleterre le 17 juin 1984
    Nationalité : Anglo-gallois
    Job : Ancien footballeur / Mannequin
    Groupe : Walk of fame




NOT EVERYTHING CAME OUT CLEAN FROM THE DISHWASHER

YOU GOTTA KNOW THAT...


    ♦️ Samuel Aiden Jude O'Bannon plus communement appelé Sam a grandi à Bristol, en Angleterre. Enfant unique de Aodh O'Bannon et Billie Mary Jens. Tous trois vivaient dans de mauvaises conditions, sa mère mourut d'une forte grippe, la faute au manque d'argent pour le traitement et de leur vie précaire. Il désirait depuis toujours exercer le metier de footballeur afin de vivre chaque jour de sa passion. Il réalisa son rêve lorsqu'à quatorze ans il fut repéré pour son talent par l'entraîneur de Manchester United, Sir Alex Ferguson et intégra la prestigieuse école de formation du club. À dix-sept ans il fit son apparition avec l'équipe première et prouva à toute l'Angleterre qu'il était le nouveau Bobby Charlton ou plutôt le nouveau Beckham. Parce qu'il faut avouer que le jeune Sam possède un physique plus qu'avantageux. Dès ses débuts il devint la coqueluche des Reds Devils et de l'Angleterre, enchaîne les publicités pour des marques de vêtements, de parfums et est invité dans toutes les soirées mondaines ou de lancement. On se l'arrache. Les plus grands clubs européens le veulent dans leur équipe mais le jeune homme reste fidèle à Man United et devient le plus jeune footballeur de l'histoire à décrocher un Ballon d'Or à l'âge de 21 ans.


    ♦️ Il avait tout, une carrière hors du commun, une existence extraordinaire, il était beau, il était jeune, il avait du succès et un talent miraculeux. Une belle revanche sur la vie pour cet Adonis des temps modernes mais le Destin est parfois cruel et Sam est victime d'un terrible accidentde voiture qui coûta la vie à son père. Il tenta un retour à l'entrainement mais les sequelles laissées par la collision le faisait souffrir dès qu'il dépassait les cinq minutes de course et après avoir consulté les meilleurs spécialistes il apprit à ses fans et à la planète football, la mort dans l'âme, son retrait définitif des terrains à 23 ans. Accablé, dépressif, il quitte l'Europe pour tenter de se reconstruire. Il fait des séjours à Sidney, à New York, à Miami et s'installe dans la cité des Anges en 2007. Il décroche sans beaucoup de mal un contrat avec une agence de mannequinat et devient rapidement l'un des hommes les plus prisés du monde de la mode.


    ♦️ De photoshoots en spots publicitaires en passant par quelques rôles au cinéma Sam s'est reconverti et se satisfait de sa vie malgré le manque évident de football. Il enchaîne les aventures sans lendemain, écume les bars et les boites de nuit les plus branchés. Loin de lui sa vie rangée et trop parfaite en Angleterre, il fume, boit, se drogue. Il est présent comme jamais dans tous les magazines, toujours pour ses talents, mais aussi pour son corps et ses débauches. Le succès lui sourit mais d'une toute autre manière, courtisé par les photographes, magazines et agences du monde entier. Egérie de nombreuses marques telles que les parfums Hugo Boss, Levi's ou Diesel, chouchou de Lagerfeld et acteur débutant. Samuel prouve qu'il a plusieurs cordes à son arc même si le sport reste sa passion. Il est, avec Mallory Jones, le mannequin le plus connu et le plus en vogue.


    ♦️ Sam avait toujours été un garçon calme quoique tétu et perséverant mais le décès de sa mère une dizaine d'heures avant son treizième anniversaire avait fait de lui une personne très nerveuse, capable de passer sa colère sur le premier venu. Un gros handicap pour son apprentissage du football professionel. Son paternel l'avait donc aidé à maîtriser cette haine qui bouillonait à l'interieur de lui, à la tranformer en rage de vaincre. Aodh O'Bannon fut le pilier de l'ascension fulgurante de son fils mais tout s'écroula le 26 septembre 2006 lorsque la voiture que conduisait Samuel fut heurtée par un camion à plein vitesse. Son père mourut sur le coup. Se sentant coupable de la mort de son père et abbattu par sa carrière brisée il laissa échapper sa colère pour devenir le genre d'homme qui frappe avant de parler. L'Anglais est brisé, interieurement, il se sait sous la menace d'une explosion, un jour ce sera trop pour lui et qui sait ce qui arrivera ce jour là.


    ♦️ Sam attire les filles, qui ne le sait pas ! Son côté bad-boy sexy et gamin tourmenté y est surement pour quelque chose. Il a cet tête de l'homme que l'on veut protéger mais qui reste inaccessible. L'Anglais est le premier à s'en étonner car contrairement à certains mannequins très propres sur eux, et célèbres, il ne porte pas toujours des marques, reste simple dans sa façon de s'habiller, ne suis pas un train de vie strict avec régimes et compagnie. Beaucoup le compare à Colin Farrell, lui il en rit. Son parcours est bien trop différent de celui de l'Irlandais dont il est fan. Sam ne se réveille que rarement sans une créature de rêve à ses côtés. Le sexe est comme un jeu pour lui, il se joue des femmes en permanence. Sam a cette allure de salaud qui plait aux femmes, il transpire la luxure et le charisme. Samuel est un fantasme vivant, la séduction personnifiée mais aussi l'arrogance et le cynisme.




NO ONE GIVES A DAMN BUT…


▪️ Son juron préféré en voiture, à scooter, à pied… → Connard !
▪️ Un creux au milieu de la nuit ? [size=12]→ Une cigarette et basta.

▪️ Au petit déjeuner il ne pourrait pas se passer… (Nourriture ou autre) → De lait.
▪️ Il se damnerait pour… (Nourriture, mode, utopie) → Rejouer au football.
▪️ Quand il se regarde dans le miroir… → Il soupire.
▪️ Sa définition d’un “guilty pleasure” ? → Basique : coucher avec une femme mariée.
▪️ 10,000$ à dépenser là, maintenant, tout de suite… → Une ford mustang des années soixante.



OOPS I FORGOT THAT !


    + Personne ne sait où il habite et pour cause, il vit dans un avion sur une plage calme au nord de Malibu..
    + Sam est asthmatique.
    + Il joue de la guitare.
    + C'est un fan de vieux rock.
    + En bon Anglais il adore les Beatles, Stereophonics, Kinks et autres groupes anglo-saxons.
    + Il n'est encore jamais tombé amoureux.
    + Son sportif américain préféré est Vesper Washington
    + Il pourrait manger des sandwichs à longueur de temps.
    + C'est un fan de Friends.
    + Il adore le son de Lahav McCoy.
    + Il est resté en contact avec ses anciens coéquipiers.
    + Il voudrait se lancer dans le cinéma.
    + Sam a peur d'aimer.
    + Il est ami avec Jude Law.
    + Il a vu tous les films de Terence Hill et Bud Spencer.
    + Il a d'ailleurs appelé son labrador Bud.





GOT A STORY OF MY OWN


    THERE’S ONLY A THING WHICH REALLY MISSES ME
    Famille, Drame


    16 juin 1996.
    Accroupi près d’un lit, tenant la main d’une femme mourante, un jeune homme pleurait. Lui qui n’avait jamais cru en Dieu priait pour qu’on ne lui enlève pas sa mère. La tête posée sur les draps, il contemplait le visage de celle qui l’avait mis au monde. Dans un effort surhumain, elle alla poser sa main dans les cheveux de son fils. Elle lui souriait, les larmes aux yeux, elle savait qu’elle ne s’en tirerait pas. Cette saleté de maladie allait l’emporter loin de son fils et de l’homme de sa vie.


    « Ne t’en va pas. Murmura l’adolescent.
    - J’aimerais tant Sam.
    - Alors restes, s’il te plait. Sanglota-t-il.
    - Sam, fais moi une promesse.
    - Tout ce que tu veux.
    - Vis, souffla-t-elle. Sois heureux, réalise tes rêves. Je t’en supplie mon garçon, ne finis pas comme moi.

    Elle se tut un instant, écoutant la pluie au dehors.

    - Je t’aime tant. Dit-elle dans un dernier soupir.
    - Maman ? Maman ! Cria Sam. Non ! Reviens, Maman ! T’as pas le droit de me laisser, fais pas semblant de dormir ! Réveilles toi, m’abandonnes pas. Maman… »

    Il fondit en larmes et les bras de son père vinrent à sa rencontre. « Lâche-moi ! » Sam avait quitté la misérable maison qui leur servait de toit et avait couru, au-delà de ses forces et malgré le sang brûlant qui lui parcourait les veines, il courait. Il s’était arrêté lorsque ses jambes avaient abandonné. Sur l’herbe fraiche d’un parc de la ville, il promit silencieusement à sa mère de tenir son engagement, celui de réaliser ses rêves, quand à celui d’être heureux, il verrait plus tard. La pluie frappait les joues de Samuel, ses bras nues souffrirent de la morsure du froid mais il se refusait à rentrer chez lui, il ne voulait plus voir sa mère comme ça. Il marchait sous l’orage, les pensées aussi tourmentées que le ciel.



    26 septembre 2006.
    Old Trafford scandait le nom de son héros, les tribunes baignaient dans une marée de rouge, déchirées entre les Red Devils et les Reds de Liverpool. Les fans mancuniens étaient en extase, la star de leur équipe venait de marquer son troisième but de la rencontre.


    « O’Bannon en état de grâce ! » Hurlait le commentateur.

    Ses coéquipiers félicitaient Sam et tous communiaient avec le public. Lorsque l’arbitre siffla la fin du match, le stade explosa : « O’Bannon, O’Bannon ! ». Après le traditionnel échange de maillot, Samuel rejoignit les vestiaires avec, sur le dos, la tunique de son équipier en sélection, Steven Gerrard. Les joueurs chantaient, se congratulaient. Une fois qu’ils furent lavés, ils se donnèrent rendez-vous dans une boite branchée de la ville pour fêter leur victoire. Sam quitta l’enceinte du stade et débarqua sur le parking réservé aux footballeurs et au staff. Son père l’y attendait. Il accueilli son fils avec un sourire immense. Avant de rejoindre Salford, il devait ramener Aodh. Il prit donc la route du nord de la ville, où il lui avait acheté une villa. « Ta mère serait très fière de toi. » Lui dit son père. Sam esquissa un sourire, il aurait tant voulu qu'elle soit là, qu'elle assiste à cette fulgurante ascencion.

    « Elle te voit de là-haut. Sourit son père.
    - Ne dis pas de connerie, Dieu n'existe pas.
    - Oh il existe et tu devrais le remercier chaque jour de t'avoir offert ton talent.
    - Tu te deviens fou. Ca n'a rien à voir avec la religion, j'ai travaillé dur ! Et si ton Dieu existait Maman ne serait pas morte.
    - Je t'interdis de me parler sur ce ton.
    - Mais merde, croire en ces conneries ne ramenera pas Maman !
    - Ne parle pas d'elle comme ça !
    - J'ai plus 10 ans, fous moi la paix !
    - Sam !!
    - Putain je vais te laisser là ! »

    Comme dix ans plus tôt, la pluie s’abattait avec rage sur toute l’Angleterre. Sam roulait vite et se disputait avec son père. Un éclair de terreur traversa son regard, il y eu un choc puis tout devint noir. Sam retrouva sa conscience et vit son père étendu sur le sol trempé. Il tenta de se lever mais une vive douleur le prit à la jambe et il tomba à terre. Il rampa alors vers le corps immobile du Gallois.


    « Papa ? »

    Il prit son visage entre ses mains et constata avec effroi que l’histoire venait de se répéter. Il le serra dans ses bras et fondit en larmes. Les secours arrivèrent un quart d’heure plus tard et tous deux furent transportés à l’hôpital. Sam subit une opération. Les médecins étaient très pessimistes sur le fait qu’il puisse retrouver l’usage de sa jambe. Ils savaient d’hors et déjà qu’il ne rejouerait jamais au football. Qu’en plus de perdre la seule chose à laquelle il tenait il avait perdu sa raison de vivre, son moteur, sa passion. Samuel Aiden Jude O’Bannon avait tout perdu cette nuit-là.






▪ DEADLINE

AVATAR : Le sublime Josh Hartnett
PSEUDO/SURNOMS : Eira
SEXE : F
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Dernière édition par Samuel O'Bannon le Ven 21 Aoû - 1:02, édité 25 fois
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Message  Anastasia Berkov Lun 17 Aoû - 20:49

SEXY LE JOSH Shocked

Bienvenue en tout cas! O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 189765
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Message  Samuel O'Bannon Lun 17 Aoû - 21:28

THE EYES OF THE WORLD CONTEMPLATES ME, ME I SEE ONLY HER EYES.
Soirée mondaine, sexe, alcool.


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Sam marchait dans la brume, la respiration saccadée, il avançait sous la pluie battante. Les gouttes coulaient sur son visage, masquant un peu plus l’unique lumière qu’il pouvait distinguer dans cette nuit sans lune. Comme un phare marin, la lueur lui indiquait le chemin à suivre, il avait peur, peur de l’inconnu, peur de ce qu’il allait trouver, peur de l’ambiance lugubre qui régnait. À chaque pas, la douleur dans sa jambe s’accentuait. À chaque pas il sentait le poids du mensonge peser un peu plus sur ses épaules. À chaque pas il se rapprochait d’un futur qu’il ne voulait pas vivre. Il aurait voulu partir, se retourner et courir comme dix ans auparavant, courir pour oublier, courir pour survivre mais il n’y parvenait pas, il ne contrôlait plus ces gestes. Il voulait s’en aller, il essayait mais il est pousser vers cette lumière qui l’éblouissait désormais, c’était la lumière des phares de sa voiture. Il vit son père, il se vit pleurer sur sa dépouille. Il réalisa alors qu’il était prisonnier d’un souvenir. Prisonnier d’un cauchemar. Son cœur battait au rythme de la crainte. Son visage se déformait sous sa douleur. Il s’écroula, son genou se tordit, il ressentit de nouveau la souffrance, celle d’avoir perdu son père et le courage de se battre pour ce qu’il aimait. Tout à coup, quelque chose de râpeux et de très peu agréable lui lécha la joue…


« Dégage ! » Cria Sam en repoussant le labrador qui venait de le lécher.

Bud, son chien, aboyait avec joie dans l’avion aménagé. L’Anglais était de nettement moins bonne humeur, il s’assit sur le bord de son lit et mis sa tête entre ses mains avant de se lever, de boire un grand verre de lait froid et de s’installer devant son écran. À défaut de jouer au foot en Angleterre, il était le meilleur à PES. Malgré le fait qu’il vive dans un avion, il avait rendu cet endroit vivable : un frigo, un canapé-lit, une télé et une connexion internet. Sam n’avait pas besoin de plus. Il était riche à millions mais une villa sur les hauteurs de Los Angeles au milieu des autres célébrités ne l’attirait pas. Il préférait son avion et ses secrets. Il avait beau être traqué par les paparazzis, en habitant ici il leur échappait. Il jeta un coup d’œil sur sa montre : 21 heures 29, sa sieste avait duré plus longtemps que prévu. Sam se levait toujours tôt, il allait se baigner, faisait des abdominaux et aux exercices. C’était un lève-tôt lorsqu’il ne sortait pas. Il se motiva après une heure de jeu puis chercha quelques vêtements. Il sortit de son tiroir un jean, une paire de converse noire, un tee-shirt blanc et pour une touche de classe un gilet masculin sombre. Il s’ébouriffa les cheveux, mit dans ses poches son portable et de l’argent et prit le chemin d’Hollywood.


Il arriva au Bungalow 13 vers vingt trois heures trente. Les journalistes et les photographes s’entassaient près du tapis rouge. Un défilé de stars avait déjà commencé, la célèbre actrice Blake Welinghton posait, suivie de près par Mallory Jones et sa colocataire Dylan Shaw. Shaun Walton, se contenta d’avancer sans un signe vers l’intérieur, ray ban sur le nez. Sam se gara devant l’entrée et laissa sa voiture à un employé et entra en scène il signa quelques autographes à quelques fans présents.


« Vous étiez le meilleur ! Le plus grand joueur du monde, c’est tellement dommage que vous vous soyez blessé. » Lui lança un adolescent.

La gorge de l’Anglais se serra. Il déglutit un petit merci et rejoignit la salle principale. Il reconnut d’entrée la musique de Lahav McCoy. Il se dirigea vers le bar, commanda une bière et regarda la piste de danse les pensées égarées. Il se cachait sous un mensonge. Et chaque jour il l’étouffait un peu plus. Il s’assit sur un tabouret, loin d’avoir digéré le film de ses souvenirs qui tournait encore dans sa tête. Il sortit prendre l’air, histoire de fumer. Il y croisa la top model avec qui il partageait les contrats. Elle était voulue pour tous les contrats féminins des plus grandes marques et inversement. Une femme d’environ vingt ans s’approcha de lui. Elle s’amusait à le draguer. Il la regardait se pavaner, sourire à la commissure des lèvres. Il ne bougeait pas, se contentait de boire son verre. Elle lui parlait, il répondait simplement, en mentant sur ce qui l’arrangeait. Il se jouait d’elle. Ils retournèrent dans la boite, elle l’entraina au centre de la piste où il continuait de boire en esquissant quelque pas de danse. De taille moyenne, mince, brune, des lèvres pulpeuses et un décolté plongeant. Très belle.


* Que demander de plus. Pensa Sam.

Il lui susurra quelques mots à l’oreille, elle sourit et tout deux quittèrent la piste avant de rejoindre le parking. La jeune femme monta dans sa Ferrari flambante neuve et Sam la suivit. Avant même d’avoir franchi la porte du luxueux appartement de la demoiselle, ils s’embrassaient langoureusement. Sam glissa sa main dans le dos de sa conquête et dégrafa son soutien gorge. Elle lui retira son tee-shirt. Une fois leurs vêtements retirés, ils se laissèrent tomber sur le lit. Elle émit un gémissement, Sam sourit et accéléra le rythme.


Il était très tôt, Sam se réveilla et se leva discrètement. Il se rhabilla et s’en alla. À l’avion il se dirigea directement vers le canapé et s’écroula. Bud se fit entendre. En grognant, Sam se releva, versa les croquettes du chien par terre et retourna se coucher, tout habillé. Il allait encore rêver de son père et de la nuit qui avait mis fin à sa vie mais il espérait que l’alcool qu’il avait ingurgité allait l’envoyer dans un sommeil si profond qu’aucun cauchemard n’oserait s’y aventurer. Il se maudit d’être devenu Sam O’Bannon le mannequin et bourreau des cœurs. Il voulait tant redevenir l’idole des terrains mais comment expliquer au monde qu’il n’était qu’un homme et que sa souffrance le pesait trop, que le mensonge était bien trop facile pour tenter une reconstruction. Il avait besoin mais s’en fichait éperdument. Il sombrait, lentement, mais surement. Qu’importe qu’on lui tende la main, cet imbécile était trop orgueilleux pour la saisir.


Dernière édition par Samuel O'Bannon le Jeu 20 Aoû - 3:02, édité 4 fois
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Message  Lahav McCoy Lun 17 Aoû - 21:42

Welcome O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 536299
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Message  Mallory Jones Lun 17 Aoû - 22:09

Bienvenue !
Han on voit jamais Josh !!! Il est trop canon pourtant^^
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Message  Samuel O'Bannon Lun 17 Aoû - 22:20

Thanks you !

Je confirme, il est "inhumainement" beau O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 643686
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Message  Blake Welinghton Mar 18 Aoû - 1:07

    Haaaaaaaaaaan oui Joshy O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 38448 O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 121580 O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 852676

    Bienvenue^^
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Message  Samuel O'Bannon Mar 18 Aoû - 1:30

Merci Smile
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Message  Jonah Morrison Jeu 20 Aoû - 3:17

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Message  Mallory Jones Jeu 20 Aoû - 11:23

Interdiction de poster tant que tu n'es pas validé, encore plus dans le RP quand c'est juste pour mettre une petite phrase dans un topic en cours et réservé !!!!
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Message  Samuel O'Bannon Jeu 20 Aoû - 11:36

Je comprends pas là. Qu'est-ce que j'ai fait ?
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Message  Mallory Jones Jeu 20 Aoû - 11:39

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Message  Samuel O'Bannon Jeu 20 Aoû - 11:43

Ah merde désolée. J'ai pas fait attention O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 496572
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Message  Mallory Jones Jeu 20 Aoû - 11:44

Tu le sauras pour la prochaine fois. Tant que tu n'es pas validé, tu ne peux poster nulle part.
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Message  Samuel O'Bannon Jeu 20 Aoû - 11:45

C'est la premièrre fois que je participe a un forum, j'ai beau avoir lu le réglement je m'enmmèle un peu O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 429908
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Message  Stanislas Cornelius Jeu 20 Aoû - 11:49

C'est pas grave mon pote, moi je te pardonne ! Very Happy

O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 644645 ^^

Courage pour la fin de ta fiche.
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Message  Mallory Jones Jeu 20 Aoû - 12:06

Demande si tu te poses des questions, on te répondra avec plaisir et ça t'évitera des erreurs^^
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Message  Stanislas Cornelius Jeu 20 Aoû - 12:08

Ouais, tu verras, on s'habitue vite à poser des questions, si tu as besoin d'aide...
Bon, okay, je me tais, et je sors ^^
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Message  Mallory Jones Jeu 20 Aoû - 12:12

MDR, ouai tu t'y connais en questions toi O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 368767
Prends exemple sur ton camarade (tu m'agace t'as pas de nom je sais pas comment t'apperler !) et pose pleins de questions !
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Message  Stanislas Cornelius Jeu 20 Aoû - 12:18

P.S T'as qu'à m'appeler Stanislas, Vesper, ou M. (parce que c'est la première lettre de mon prénom, et puis même si c'est déjà pris par le chanteur ou par la bonne femme dans James Bond, c'est pas grave ^^)
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Message  Samuel O'Bannon Jeu 20 Aoû - 20:13

HéHé merci, méfie toi, je t'assomerais peut-être de question. et merci à James Bond Arrow
Je pense finir ma fiche d'ici demain, ou samedi.
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Message  Samuel O'Bannon Ven 21 Aoû - 1:01

Once upon a time ...
Pression

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17 août 2001.
Trois ans, jour pour jour, que Sam avait intégré le centre de formation. Trois ans de dur labeur, d’entraînement acharné. Trois ans de moqueries de la part des autres élèves vis-à-vis de son milieu social. Trois ans à courir après un rêve, une preuve, une ligne d’arrivée. Pourtant, plongé dans la lumière tamisée du couloir des vestiaires, Sam se trouvait sur une ligne de départ. Il avait quatre vingt dix minutes pour montrer à l’Angleterre qu’il avait du talent. Une heure et demie, quatre vingt dix minutes, cinq mille quatre cent secondes, un souffle dans une vie d’homme. Un pas de géant dans la carrière de Sam. Une voix annonça l’entrée des joueurs, il se mit en marche, suivit Ryan Giggs, une légende du club, et entra sur le terrain sous les applaudissements du public. Son cœur battait à tout rompre, ses mains étaient devenues moites sous la pression, Il tentait de calmer sa respiration qui était très irrégulière. Après que les protagonistes se furent échanger une poignée de mains, Sam alla se placer. Ailer, floqué du légendaire numéro sept, sa présence provoquait les murmures et les interrogations du public. Qui était donc ce garçon a qui l’on avait confié le plus beau maillot du club ? Que faisait-il avec ce numéro sur le dos ? Sir Alex serait-il devenu fou ? Ce chiffre a été porté par les plus grands joueurs du club, Cantona, Best, Robson, Beckham et ce O’Bannon, qui est-il ? Des vertiges avaient pris Sam, 60 000 personnes le fixaient d’un air désapprobateur. Alors, Ryan Giggs s’était approché de lui et lui avait dit :


« Hé Sam, oublies-les. Concentre-toi uniquement sur le match. Dès que le sifflet aura retentit, tu joueras au foot. Tu joueras à ce jeu qui te passionne. Je crois en toi, tu étais très bon à l’entraînement. Prouves à tout ces gens que tu mérites ce numéro sept. Joue simplement au football et tu les convaincras. Un peu de pression ne peut pas te faire de mal, elle t’incitera seulement à te surpasser. Aller petit, c’est ton heure.»

Ces paroles l’avaient apaisé, peu, mais suffisamment pour reprendre ses esprits et une grande inspiration. L’arbitre siffla. C’était parti. Deux minutes sans toucher la balle puis les premiers pas en tant que joueur de Manchester United se confirmèrent lorsqu’il reçut une passe de Gary Neville. Une feinte, un passement de jambe, une passe, trois joueurs dépassés. Les tribunes restèrent silencieuses. Solskjaer tira et frôla la barre transversale. Il fit un signe encourageant à Sam et alla se replacer. Un attaquant de l’équipe adverse filait vers les buts, il fut tacler par un défenseur et l’arbitre jugea qu’il y avait faute. Un coup franc, un souffle, un but, les hurlements des fans de Chelsea. « Merde ! » Pensa l’Anglo-Gallois. La première mi-temps était terminée. Dans les vestiaires, le coach leur somma de jouer plus souder, de se faire confiance mutuellement malgré que ce soit l’un des premiers matchs de cette année-là. Deux ans s’étaient écoulé depuis l’historique triplé de l’équipe et rien dans l’histoire du foot n’avait été si beau pour l’entraîneur mais il leur dit que le passé n’était plus qu’un doux souvenir. Que vivre une victoire était la plus belle des récompenses, qu’ils devaient se battre pour ressentir ce moment magique, que comme une drogue on en voudrait encore et que chaque victoire était plus belle encore que la précédente. Le quart d’heure de pause s’écoula les mancuniens regagnèrent la pelouse. Les chants des supporters envahissaient l’enceinte du stade et résonnaient dans toute la ville. Revenu à égalité grâce au gallois Giggs, les hommes de Ferguson n’avaient plus que le temps additionnel pour vaincre. Sam brillait, volait sur l’herbe, la balle entre ses pieds devenait un simple jouet, il se déplaçait avec classe, légèreté. Le public était subjugué. Plus que deux minutes, Wes Brown passa à Giggs, une minute trente, Silvestre hérita du ballon, trente secondes, Ole Gunnar prolongea vers Samuel, dix secondes, en premier intention, le jeune homme tira et envoya la balle en pleine lucarne, un sublime but de plus de vingt mètres, Sam serra le poing en signe de victoire, ce fut l’explosion du stade, Sam pensa à sa mère. Toute la pression accumulée lors de la partie s’évanouit. Soulagé, heureux, victorieux, Sam riait. Il pensait toujours à sa mère et son père l’admirait depuis les tribunes, si fier de son fils qu’il en pleurait. Ses coéquipiers le félicitèrent, il avait les larmes aux yeux. Il s'était battu pendant si longtemps, son calvaire avait pris fin. Il était définitivement un joueur de United à part entière. Il était un Diable Rouge, il était un footballeur. Il était le plus beau des rêveurs, mais tout rêve à une fin et dans la vrai vie il se solde rarement par un Happy End


Quatre vingt dix minutes, un soupir dans l’histoire du monde, une goutte d’eau dans l’océan, un cri dans un stade de milliers de personnes. Pour Sam, le début d’une formidable aventure, lui l’enfant pauvre et rejeté était devenu le meilleur espoir d’une équipe en perdition, une future légende, un fier détenteur du numéro sept, une idole, une icône, un joueur reconnu pour son exceptionnel talent. Une formidable revanche pour celui a qui manque terriblement sa mère et qui ne se doute pas encore que son existence va se dérouler à 1000 à l’heure, que le rêve prendra fin dans un enchevêtrement de mensonges. Orphelin, exilé à l'autre bout du monde, cynique, arrogant. Où est donc passé le jeune homme pleins de convictions, de rêves, d'espoirs ? Qu'est devenu l'adolescent passionné et sincère ? Les valeurs inssuflées par ses défunts parents n'étaient plus d'un lointain souvenir, tout comme le foot. Pour être honnête, il faut être un hors-la-loi. Un homme honnête mais malgré tout un menteur, qui est-il donc ?
--- Toute légende a sa part d’ombre.


Dernière édition par Samuel O'Bannon le Ven 21 Aoû - 23:52, édité 1 fois
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Message  Mallory Jones Ven 21 Aoû - 16:57

yeah, j'adore comme t'as intégré les autres persos du forum dans ta fiche O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 272150
Je te valide donc !!
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Message  Samuel O'Bannon Ven 21 Aoû - 19:33

Merci . cheers
Héhé Mallory a un concurrent Arrow
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Message  Gisella Gvozdev Ven 21 Aoû - 21:18

Désolée de m'incruster sur ta fiche Embarassed
Mais Manchester United quoi. O'BANNON S. | I don't look for the fight, it's the fight which finds me [ FINI ] 491200
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