L. DONAHUE • forget the name, play the game (FINISH)

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(GROUPE:BOY TOY)

- Nom (en majuscules) : DONAHUE.
- Prénom(s) : Lance Wyatt Zachary.
- Né à / Né le : Dallas (Texas), 24/09/77.
- Nationalité : Américaine.
- Etudes (facultatif) : Management.
- Job(s) : Ancien militaire, vendeur automobile.
- Taille/Poids : 192 centimètres / 87 kilos.
- Sports : Natation, boxe française, jogging.
- Disponibilité : Jours ouvrables + vacances.
- Transport : Possession d'un véhicule.
- Recommandations : Black Cats (club d'Escort)
- Autres : Refus de travestis/transsexuels.

NOT EVERYTHING CAME OUT CLEAN FROM THE DISHWASHER

• YOU GOTTA KNOW THAT

Non pas Armstrong. Non pas Henricksen. Mais bien Donahue. Lance Donahue. Ce nom ne vous dit rien du tout ? Et bien c’est tout à fait normal. Loin des caméras, des projecteurs et des journaux à scandales, le bel éphèbe agit dans l’ombre et bien souvent à l’abri des regards. Il fait partie de cette classe mystérieuse qui régit dans l’obscurité le monde des célébrités hollywoodiennes. D’accord, c’est son supérieur (qu’il appelle affectueusement Boss) qui décide de –pratiquement- tout, mais il adore s’en vanter. Il y en a sur cette terre qui ont des principes, et des beaux, on vous assure. Lance, lui, n’en pas, ou quasiment pas. C’est vrai qu’il vote Ecolo, qu’il essaye de manger bio, qu’il conduit des voitures hybrides et qu’il laisse les vieilles bobonnes traverser la route à leur aise, mais bon cela est loin de placer au rang des BGJH (Beaux Gentils Jeunes Hommes). Même s’il reste très beau. Bref, si à Hollywood on les appelle les ToyBoy, Lance se considère davantage comme un travailleur passionné que comme un gigolo. C’est très simple, sachez-le. Avant-hier militaire, hier vendeur automobile, aujourd’hui Escort Boy, demain roi du monde, et toc ! Le métier de monsieur Donahue se révèle être aussi simple que compliqué. Son rôle est de faire passer du bon temps aux dames célèbres d’aujourd’hui. Mais trois points sont à soulever : le tarif, les exigences et les bonus. Premièrement, le tarif. Lance ne se fait jamais payer en liquide par ses clientes. Non, ces dernières peuvent lui propose des extras dans le cadre de leur rencontre (à bon entendeur) ou le récompenser par des cadeaux, autres que de l’argent liquide. Il s’agit parfois de montres, parfois de fringues, parfois de voitures, parfois de dîner dans un restaurant ultra-chic, et même parfois des vacances dans un lieu exotique. Par contre, hors de question (dans son cas du moins) de l’amener sous les projecteurs. On reste discret, c’est le mot d’ordre de la maison. Secundo, les exigences. Et ça, c’est lui qui décide. Si certains confrères acceptent de, selon les termes propres du personnage ci-dessous, ‘se faire une vieille peau’, lui refuse catégoriquement. Il accepte toute créature féminine (et sans opération) dont l’âge varie de vingt ans (il a peur de passer pour un pervers pédophile) à quarante ans (et encore, la date de péremption approche). Si au début de son métier il acceptait toutes les clientes, aujourd’hui il lui arrive de refuser. Refuser qui ? Et bien celles qui sont mariées ou liées depuis longtemps à un homme. C’est sans doute l’un des rares points sur lesquels Lance est indiscutablement gentleman et adorable. Loin de lui l’envie de casser un ménage (et de se faire rétamer par un mari furax). Dernièrement, les bonus. Bein oui, tous les Escort Boy (appellation générale, évidemment) ont une spécialité, même plusieurs. Hormis le fait d’être un parfait accompagnateur en soirée ou en dehors des rencontres sexuelles, dites de manière crue, qui sait mettre ses clientes à l’aise et être le plus gentil des hommes sur terre, Lance a deux spécialités. D’un côté, la danse. Tango, salsa, tout ce qui vous désirez. Mais principalement les danses sans nom qui sont de mise lors de strip-tease. Hé oui, le bellâtre est un dieu en matière de strip-tease (matte les abdos). De l’autre, Lance est ce que l’on pourrait appeler l’amant idéal. Il se définit comme une bête au lit, connaît les positions du kamasoutra thaïlandais (héhé) et fait les meilleurs massages de la côte ouest. Alors ? Seriez-vous capables, mesdames, de vous laisser diablement tenter ?

Une minute. Vous devez maintenant vous demandez ‘mais que diable ce petit a-t-il fait pour se retrouver à faire ça ?’. Bon, imaginons que vous ne vous posiez pas la question, nous allons quand même expliquer ce petit point qui a, sans doute, son importance. Croyez le ou non, personne ne pensait qu’un jour Lance terminerait Escort Boy. En effet, à dix-sept ans, il est entré dans l’armée pour faire son service militaire et y est resté jusqu’à l’âge de vingt ans. Il aime dire qu’il s’est taillé parce qu’il n’en pouvait plus, alors qu’en réalité on l’a éjecté pour mauvaise conduite (il volait les serviettes de douche de ses camarades). Ensuite, il a repris des études pour devenir vendeur automobile – la classe. Durant un an et demi, il s’est éclaté à vendre des voitures (certaines de luxe, d’autres de vraies voitures de playmobile) à New York. Et un jour, le déclic eut lieu (sans intervention divine). Lance Donahue venait de comprendre que les femmes et lui, ça marchait. Et si ça marchait, pourquoi ne pas y gagner quelque aussi ? Hein, de plus que du simple plaisir ? Le voilà, à vingt-six ans, comme globetrotteur. Lance s’amuse alors à parcourir les Etats-Unis afin de trouver un emploi dans ce domaine un peu particulier, sans grand succès à vrai dire. Jusqu’au jour où une boîte d’Escort (Black Cats) le remarqua au coin d’une rue. Il était occupé à attendre le bus comme un gros naze, avec un t-shirt dégueu et une bouteille de bière à la main. Faute de le dire à nouveau ; la classe. Le bellâtre est alors embarqué dans un petit réseau d’Escort (oui, ils détestent appeler ça de la prostitution). Deux années à donner son corps à des clientes des plus étranges. Mais le jour du fléau arriva (en plein dans ses dents, vlan !). Il fallait dire que Lance n’en menait pas large lorsque le médecin constata qu’il venait d’attraper une MST. Evidemment, personne, non personne, n’a jamais su. Vous imaginez un peu la honte pour un homme aussi irrésistible que lui ? Et comment devait-il se présenter alors ? Lance, vingt-huit ans, originaire du Texas, et au fait j’ai une MST mais c’est négligeable ? Absolument pas. Il préféra simplement se désister pour les prochaines rencontres, et quitta finalement ce milieu tordu pour se faire embaucher autre part. Une boîte secrète, c’était assez excitant. Adieu les femmes volages et excentriques, bonjour les reines de Los Angeles saines et vaccinées. Voilà quatre ans que Lance travaille pour GiveMeYou, même si ses occupations ont très peu changé. Disons que maintenant, c’est un nom connu de toutes, mais sans qu’on puisse le dire. Ca fait très super héros du sexe ça.

Etonnant mais véridique. Si Lance peut s’enfiler un casier de bières et jouer à la marelle sans tuer ses camarades après, il a néanmoins de plus grandes difficultés à tenir l’alcool, le vrai, le dur. Chez lui, un verre d’alcool vaut plus ou moins une dizaine de bières. En soirée, il vaut mieux se tenir, vous l’aurez compris ! Un verre de Martini blanc ou un verre de whisky, mais sûrement pas les deux. Pareil pour le champagne. Vous comprenez maintenant qu’il est aisé de le saouler sans qu’il ne s’en rende compte. Enfin, il fait quand même très attention à ce qu’il boit parce qu’une fois ivre, il est beaucoup moins attrayant. Il n’a pas l’alcool joyeux, ni même l’alcool triste. Il a l’alcool bizarre, voilà. Un Lance bourré agira suivant trois étapes. Première étape ; comportement excentrique se caractérisant soit pas une danse folklorique, soit par un déhanché hautement sensuel, soit par une série de blagues vaseuses sur les stars. Seconde étape ; petite comptine sur la vie extrêmement malheureuse qu’il a vécu durant sa petite enfance (il en rajoute énormément, attention) en se remémorant comment il est devenu Escort Boy ou comment il a compris la sexualité de son chien. Dernière étape ; trois pas chassés, tour sur soi-même de cent quatre-vingt degrés et effondrement instantané, peu importe l’endroit. C’est pitoyable, il le sait.

Lance est un véritable casse-cou(illes). Sportif de haut niveau et condition physique impeccable, il sait qu’il aura largement le dessus lors d’un affrontement physique (sauf contre John Cena et ses potes catcheurs-acteurs, of course). C’est pour cela qu’il ne réfléchit pas avant d’agir, histoire d’envisager les difficultés possibles. Il s’en fiche. Les dés sont jetés, et lui se jette corps perdu dans tous les coups foireux. Il part du restaurant sans payer, se fait poursuivre par les sorteurs d’un bar après avoir insulté leur mère (mais il faut avouer qu’elles étaient vraiment terrifiantes ces vieilles dames), se fait suivre par une voiture après avoir fait la sieste sur le capot, etc. En parlant de restaurant, il a du – il y a quelques semaines – défendre ses actes en se battant à mains nues contre l’un des serveurs. Manque de chance, il était inscrit à la lutte au lycée. Le serveur s’est retrouvé avec un œil au beurre noir et Lance s’est retrouvé dans un bac à ordures géant. Superbe. Le seul avantage, c’est que les femmes aiment les blessures de guerre, et imaginez la double ration de plaisir qu’il a eu le soir même avec Rihanna. Mais silence, elle préfère taire cette nuit torride.

Même si son métier lui demande du temps (ou pas), Lance a quand même quelques (beaucoup) de moments à lui. Ce qui lui a permis de décrocher un rôle dans une série B américaine. Existant depuis peu, cette série manquait de beaux gosses pour se lancer. Les producteurs ont remarqué Lance sur la plage, alors qu’il courrait après le marchand de Magnums qui l’avait arnaqué de trente-deux cents. C’était lui qu’il leur fallait. Donahue a donc eu l’immense – hum – chance de jouer dans cette série durant l’espace de quelques semaines de tournage, c’est-à-dire huit épisodes. Il est apparu en milieu de saison et a terminé cette dernière. Depuis, la série est un franc succès sur le continent, et les producteurs sont encore reconnaissants envers lui. Mais ce n’est pas réciproque. Petite explication ? Pas de soucis. La série, intelligemment appelée ‘Sea, sex and crime’, a pour thème un groupe d’amis – tous beaux, jeunes et riches – qui vivent à Miami. Jusqu’au jour où leur quotidien est bouleversé par la mort d’un des leurs. Les jeunes beaux-riches décident alors de mener leur enquête. Un scénario complètement bidon, c’est vrai. Dans l’épisode douze, Lance apparaît pour la première fois dans le rôle de Lorenzo Dicallipo (en plus d’être nuls, les scénaristes étaient complètement crétins), un séduisant barman tout juste débarqué du Mexique. Jusque là, aucun soucis. Bon salaire, amusement, etc. Jusqu’à l’épisode final où les scénaristes ont tué Lorenzo. D’accord, c’était prévu. Mais la mort a été tellement stupide qu’aujourd’hui, personne ne se souvient de lui (hormis les producteurs et quelques rares membres du cast). Quelle aubaine ! Tout le monde se souvient uniquement d’un type pas trop mal qui, dans les dernières minutes de la série, se tire une balle dans le pied (le révolver ayant été volé à la mafia japonaise présente sur les lieux, logique) et meurt d’un arrêt cardiaque durant l’opération qui devait lui recoudre le pied précédemment amputé.


• NO ONE GIVES A DAMN BUT

Son juron préféré en voiture : J'vais l'enfumer l'enfoiré ! Ou sobrement : ducon.
Un creux au milieu de la nuit ? : Du lard fumé. Ceci n'est pas une blague.
Au petit déjeuner il ne pourrait se passer de : Des résultats sportifs de la veille.
Il pourrait se damner pour : Monica Bellucci, un double cheeseburger et une bière.
Expert culinaire ou expert des plats au micro onde ? : Le dieu des fournaux.
Quand il se regarde dans le miroir il se dit : Vas-y Rocco, t'assures un max.
Sa définition d’un guilty pleasure ? : Faire l'amour sur le tournage d'un film.
10,000$ à dépenser là, maintenant, tout de suite : Une chevrolet camaro.


• OOPS I FORGOT THAT

Il a toujours été terrifié par l’idée de finir sa vie comme Dawson dans la série éponyme.
Il a décidé de devenir gaucher à 19 ans. Faute de soutient, il n’y est pas parvenu.
Il a adore les blondes autant que les brunes, les bières autant que les femmes.
Sa plus longue relation sentimentale – avant ce métier – a duré quarante-sept jours.
Il aimait se déguiser en cow-boy avant, pour pimenter ses aventures.
Il a arrêté trois jours après la sortie en salles de Brokeback Mountain. My god.
Il a un chien nommé Mudgie. Il est affectif autant qu’il est con, c’est dire.
Quand il se sent seul, il fait la conversation à sa plante verte prénommée Ilda.
Il parle forcément l’Anglais, mais a quelques notions basiques de Français.
Il a appris cette langue en regardant Les Vacances de l’Amour chez sa cousine.
Depuis quelques jours, sa vie est devenue un enfer. Un véritable enfer.
Si bien qu’il a déjà mis un sac sur la tête pour sortir de chez lui.
Conclusion : il a encore plus attiré l’attention que d’habitude. Le crétin.
Quand il bat quelqu’un à quelque chose, il aime scander : LOOOOZER !
Une fois sur deux, il part sans payer l’addition au restaurant. Il adore.

DEADLINE

AVATAR : JOSH DUHAMEL. What else ?.
SURNOM/PSEUDO : Une chanson d'Indochine.
SEXE : En cure de désintoxication.
AGE : La majorité tout fraîche mes amis !
OU L'AVEZ-VOUS CONNU ? : Pub sur Bazzart.
COMMENTAIRES ? : Rien à redire,total kiffe ! C'est frais, c'est beau, c'est coloré, bon j'aime quoi. Et puis ça tombe bien de trouver des petites merveilles comme ça après avoir été quasi coupée du monde d'Internet pendant des semaines. Vive les travaux de rénovation, on se croirait dans Lost.

GOT A STORY OF MY OWN

« Boss, je m’en vais »
« Nickel Lance, bonne nuit »
« Elle risque de l’être »

Lance Donahue, vêtu de son plus costard – un Armani à neuf-cent dollars – s’enfonça rapidement dans sa BMW, avant de mettre le contact. Il vérifia ses dents dans le rétroviseur, continua avec un test sur son haleine mentholée et finit par se remettre du déodorant, de l’Axe pour attirer les femmes, avant de se mettre en route. Le nom extrêmement exotique et parfumé de la cliente de ce soir l’avait mis de bonne humeur. Paloma, Paloma, Paloma. Il voyait déjà une Sud-Américaine sulfureuse aux courbes généreuses et aux désirs défendus. Lorsqu’il ouvrit l’enveloppe que le Boss lui avait donné et qu’il découvrit la photo de la dite Paloma, il ne put retenir un « La vache ! » qui définissait bien la beauté impérissable de la jeune femme. Un teint caramel et des lèvres pulpeuses. Un regard de braise qui devait traduire son appétit au lit. Une soirée qui se garantissait excellente. Il sortir de ses pensées libidineuses – ne le cachons – arrivé à hauteur du studio immense de sa cliente.

« Nous voilà » marmonna-t-il en sortant du véhicule.

Il pénétra dans l’immeuble, montant les marches des escaliers de marbre deux par deux, avant de terminer sa course au quatrième étage. Dix-sept secondes de marche le séparaient de la porte de l’appartement de Paloma. Dix-sept secondes durant lesquelles il avait eu l’occasion de se recoiffer, de dénouer sa cravate, de déboutonner les premiers boutons de sa chemise, de la déshabiller mentalement, de ramasser un papier, de remettre un cadre droit, de faire un clin d’œil à la femme de ménage et de … Non, c’était tout. Mais c’était déjà pas mal.

*Vas-y mon vieux, et assure comme un dieu !
Ouais, ouais. Je suis en condition, je le sens bien là !
Bon la ferme, avance, et va ouvrir la porte crétin*

Non loin d’être schizophrène, Lance avait seulement trois consciences complètement différentes : la conscience imbue, la conscience égocentrique, la conscience rationnelle. Bizarre, non. Donahue, oui. Il arriva, il frappa, il afficha un sourire Colgate.

« Bonjour » susurra une voix suave à l’intérieur de la pièce.
« Gloups »

Il entra avec un semblant de détermination dans la pièce. Et quelle pièce ! Lumière tamisée, bougies, encens, draps de soie, pétales de rose. On dirait qu’il allait fêter une fête folklore européenne avec elle alors qu’il ne savait que son nom (et ses mensurations qu’il avait devinées en la matant discrètement). Il était surpris mais conquis.

« Alors, quel est le nom du beau brun ? »
« Lance, enchanté. Paloma je présume ? »
« Non »
« Qu… Quoi ? » gloussa-t-il, les yeux ronds.
« Je plaisante »
« … » se contenta-t-il de dire.

Elle l’entraîna sur le lit deux places au fond de l’une des plus grandes pièces. Il se laissa faire, pour une fois, bien qu’habitué à mener la danse. Au fond, se faire dominer n’avait réellement rien de déplaisant, surtout qu’elle semblait avoir l’habitude. Elle commença par déboutonner totalement sa chemise, avant de faire glisser sa langue le long de son torse. Ils passèrent une dizaine de minute à échanger des baisers langoureux, à se déshabiller lentement, et se retrouvèrent finalement en sous-vêtements sur les draps.

« Wouah » lança-t-il en regardant sa poitrine.
« Tu me reluques, là ? »
« Non, tu as des s… Un soutien-gorge sublime »
« Ouais » elle afficha un sourire charmeur.

Ils étaient à présent nus. Deux corps dans le plus simple des appareils, allongés côte à côte sur des draps extrêmement doux (fallait le dire, hein). Et alors qu’ils étaient sur le point de passer aux choses sérieuses, Lance posa les yeux sur une chose qui lui déplut fortement.

« C’est quoi ça ? »
« Quoi donc ? » fit-elle innocemment.
« Cette bague »
« Un simple bijou, voyons »
« Non, justement. C’est l’genre de bague qu’un mec offre »
« Ecoute … » tenta-t-elle.
« T’es mariée ? » s’insurgea-t-il, se reculant doucement.
« Non »
« T’as un mec alors »
« Disons que … Oh, oui ! Et alors ? »
« Et alors ? » répéta-t-il en échos.

Il se leva – toujours aussi nu – et commença à faire les cent pas dans la chambre. Visiblement, s’exhiber ne semblait pas un problème. Mais aucun des deux ne prêta attention à leur nudité, bien trop mal à l’aise. Il lui fit un discours sur ses exigences quant aux femmes célibataires, blablabla. Elle termina pas s’excuser, et tous deux reconnaissaient finalement qu’il avait été mieux qu’ils ne fassent pas l’amour ce soir. Soudain, un bruit.

« Merde »
« Quoi ? »
« C’est … »
« TON MEC ARRIVE ? »
« Je pense bien » marmonna-t-elle.

Lance n’eut pas le temps de faire ou de dire quoi que ce soit que la porte s’ouvrit et que la silhouette étonnement massive du copain de Paloma se dessina dans le couloir. L’homme entra dans la chambre. Lance ouvrit grand la bouche et resta sans bouger, sous le choc.

« Bein merde alors »
« Euh, excuse-moi petit homme. Que fais-tu nu dans mon appart ? »
« Oh »

Lance baissa les yeux, afficha un sourire gêné et s’empara d’un abat-jour pour cacher ses parties intimes – l’abat-jour était très grand. Il regard le mastodonte devant lui. Il n’avait pas l’air furax, c’était bizarre. [/i]

« J’y crois pas ! » lança Lance avec un enthousiasme enfantin.
« Quoi ? » rétorqua l’homme.
« Vin Diesel ! »

Vin Diesel en personne devant lui. Lance était abasourdi ; il était fan de cet acteur. Vin, quant à lui, se tenait droit devant l’Escort Boy, fier de faire autant parler de lui avec succès. Il posa une main immense et moite sur l’épaule de Lance et le secoua légèrement (enfin). Soudain, le jeune homme eut une idée affreuse ; il allait se faire la copine de Vin Diesel, donc Vin Diesel allait le tuer. Misère.

« Ecoutez, je … »
« Pas de soucis gamin »
« Quoi ? » A n’y rien comprendre.
« On est un couple libre, Paloma et moi » La jeune femme sourit.
« Ah »
« Maintenant file, je vais terminer ce que t’as commencé. »
« Et je suis pas payé ? » lança-t-il avec un sourire stupide.
« Bon tiens, et casse-toi »

Vin Diesel sortit une photo dédicassée de sa poche. Lance soupira. Poisse. Il avait perdu la fille et gagner une photo de Vin Diesel. La soirée par excellence quoi.

Le lendemain, c’était inévitable. Il devait dire ce truc tellement énorme à quelqu’un. Pas le Boss qui pourrait le tuer, ni sa sœur qui ignorait tout de sa vie, ni personne d’autre. Juste …

« Shaun ! » hurla Lance.
« Dégage, je veux pas qu’on te voit avec moi »
« La ferme, blaireau »
« Bon quoi ? Je suis mort crevé » marmona Shaun.
« Tu sais pas qui j’ai vu hier ? »
« Tyra Banks ? » fit-il, intéressé.
« Non ! »
« Je m’en fous alors »
« VIN DIESEL ! »
« Super, t’es gay et alors ? »
« T’es vraiment le roi des cons »
« Je suis le roi au moins » il sourit.
« Abruti. J’ai failli me faire sa nana »
« Quoi !? Bordel, raconte »

Je sais pas si je peux mais Bienvenue
J'ai pas mal rigolé avec ce début de fiche

MUHAHAHAHA. Et fière de t'avoir rendu la vie infernale
TOI AUSSI TU AS UNE PLANTE VERTE A QUI TU FAIS LA CAUSETTE ? Moi, c'est celle de ma tante et elle s'appelle Mona

Tu seras responsable de sa mort, saloperie.
OH OH le beau ménage à quatre

Thx, May.
Et oui oui tu pouvais.

Keira.

Welcome!!

WESH UN LENNOX le gars trop sympa qui dit "j'espère que ce que tu as trouvé vaut le détour" avant de dire bonjour à quelqu'un qu'il n'a pas vu depuis deux ans *ZBAAF*
Welcoooome

J'avoue que j'ai pas compris.

C'est dans Transformers 2, désolée, je le ferai plus

Je suis rassurée, je pensais que la remarque en size 7 m'était destinée

Ah non, non, c'était un élan purement geek de ma part, pas d'inquiétude
Maintenant que j'ai eu bien la honte, je pense que je peux sortir

Naaan, zyva, je t'invite sur mon yatch
Un cadeau de Rihanna

Arf, désolée, je monte pas là-dessus alors, j'ai trop peur qu'il coule s'il vient d'elle

MOUF MOUF

(c'est le langage nananien)

Lahav McCoy a écrit:C'est dans Transformers 2, désolée, je le ferai plus

HS mais est-ce que je peux voir le 2 sans avoir vu le 1 ?

Héééé. Cadeau de Rihanna mais revérifié 4x par mon mécano SAM

Mais c'est pas Josh sur le vava c'est Eric Dane

Par contre est ce que tu pourra remettre les champs "officiels" nom prénom et tout, car y'a la mention groupe qui est un peu obligatoire pour nous pour savoir où te mettre

Bienvenue sinon !!

Hééé ouais on dirait mais non
J'ai fait l'avatar donc je suis sûre d'où je tire mes photos
Par contre j'ai failli mettre 'look like Eric' en le faisant, mais je pensais être la seule à trouver la ressemblance

Je fais ça direct ma Wentella

Si ça a été vérifié par un Sam, je ne peux qu'accepter alors

SimbachOu ~> Tu risques de manquer pas mal de subtilités (déjà, pourquoi le pauvre Sam se retrouve là-dedans XD) et ne pas tout comprendre mais beaucoup s'accordent à penser qu'il n'y a pas d'histoire donc pourquoi pas ?

Lahav McCoy a écrit:Si ça a été vérifié par un Sam, je ne peux qu'accepter alors

SimbachOu ~> Tu risques de manquer pas mal de subtilités (déjà, pourquoi le pauvre Sam se retrouve là-dedans XD) et ne pas tout comprendre mais beaucoup s'accordent à penser qu'il n'y a pas d'histoire donc pourquoi pas ?

Je vais me le faire -le film hein, pas Shia, promis - alors, mais bon, ça m'énerve, parce que je suis partisanne du "quand y'a plusieurs volets faut voir TOUS les volets sinon ça sert à rien"

Oh j'avais même pas tilté que c'était toi XD
Sucrette
Merci !

Si si je jure

DESTINÉÉÉÉÉEEEEEE
Toi aussi tu succombes à la man-attitude ?

Oh.J'avoue. La ressemble avec Eric là.