GISELLA • It's not her fault that she's so irresistible. [DONE.]

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GISELLA, Lupita, GVOZDEV. 28 ANS. Las Vegas, NEVADA, USA. Américaine. Mannequin. CELEBUZZ.

WAKING UP IN VEGAS // Contrairement aux autres « stars », les parents de Gisella sont loin d'être connu. Un peu avant la naissance de Gisella, ils s'étaient enfuit de Russie pour éviter le régime imposé là-bas. S'installant à Las Vegas, le père de la jeune femme devint un membre très important d'un des plus grands hôtels de la ville, Caesars Palace. C'est ainsi que sa fortune commença, Gisella se retrouvant héritière d'une fortune inestimable, au même titre que Paris Hilton, sans les hôtels. Et pourtant, cela n'empêcha pas Gisella de partir de sa ville chérie, où tout lui était offert comme sur un plateau. Chacune de ses venues étaient un évènement, mais elle voulait voler de ses propres ailes. Alors, Gisella Lupita Gvozdev plia bagage, et parti en direction de Los Angeles dès ses 17 ans. C'est à ce moment qu'elle se fit découvrir par un agent pas bien honnête qui pourtant l'amena sur le devant de la scène, en la faisant poser pour des tas de magazines - bien qu'elle avait eu un gros coup de pouce par papa.

SILLY GIRL // Mais ce n'est pas sa carrière de mannequinât qui lui permit de devenir une icône - bien qu'un drôle d'icône. Alors que sa carrière était à son apogée, étant demandé par des couturiers suffisamment connus dans le monde, des drôles de photos firent surface, la montrant dans le plus simple appareil dans des positions bien étrange auprès d'une jeune et belle inconnue. Je vous laisse imaginer le tableau. C'est alors que sa côte de popularité augmenta subitement en quelques semaines à peine, se faisant épiée par les paparazzis, cela ne l'empêcha pas de perdre beaucoup de contacts, notamment avec Marc Jacobs ou encore avec Vera Wang. Cela fait à présent, deux ans que les photos sont sorties, et elle ne recommence que maintenant à avoir de nouvelles propositions, après avoir entamé un procès contre la personne, après avoir supporté la colère de son père, et également, après avoir fait bonne figure. Les choses semblent roulées pour elle, seulement, ce n'est pas en se changeant en ange qu'on en oublie la diablesse.

ALL YOU HAVE TO CHANGE IS EVERYTHING YOU ARE // Gisella a toujours eu ce qu'elle voulait, quand elle le voulait, depuis sa naissance. Chose qui avait toujours exaspérée sa chère mère avec qui elle n'avait jamais entretenu un très bon rapport. Devenant l'une de ses filles pourris gâtées, à qui on lâchait le moindre caprice, Gisella ne sait jamais quand il faut s'arrêter. Devenant une fille totalement insupportable, et exubérante, rares sont les personnes qui arrivent à la supporter. Ayant un besoin évident de briller et d'être au centre des conversations, il n'est pas surprenant que la jeune femme soit plus ou moins satisfaite de cette soudaine médiatisation. Sa côte de popularité étant toujours aussi forte à cause de ses nombreuses frasques en tout cas. Entre ses soirées trop arrosés, ses histoires d'amour un peu trop publiques, ainsi que sulfureuses, et sa dépendance évidente à la drogue. Impulsive, fêtarde, sarcastique, mauvaise, et parfois garce, Gisella est loin d'être un cadeau tombait du ciel, mais qui sait, peut-être se cache une personne bien différente au fond d'elle ?

I'M MY OWN WORST ENEMY // L'alcool et la drogue sont les deux plus grands vices à Hollywood, en dehors du sexe. D'ailleurs, Gisella y est tombé très tôt. Déjà avant le buzz médiatique autour de sa petite personne, c'est à cause de sa rencontre avec Isaac Delweet qu'elle a touché à la drogue. Commençant directement par la drogue dure, tel que la cocaïne, depuis Gisella ne peut plus s'en passer, à en devenir presque inquiétant. Il ne se passe jamais une soirée sans que Gisella ne boive jusqu'à l'excès, ou ne se drogue. Elle a toujours connu l'envers du décor, déjà à Las Vegas, c'était une chose qu'elle voyait souvent circulé, sauf qu'elle n'y touchait pas, pour garder la bonne image que son père avait dans cette ville. Mais depuis qu'Isaac l'y a initié, elle ne peut plus stopper cette dépendance qui risquerait de lui coûter un jour sa vie.

GIRLS JUST WANT TO HAVE FUN // Si vous souhaitez vous attirer les foudres de Gisella, parlez-lui d'amour. L'Amour est un sujet tabou, une saloperie inventée par la société, bref, tout ça pour dire qu'elle n'y croit pas. Gisella ne croit pas non plus à ces trucs avec Cupidon et ses foutues flèches, ni à la Saint-Valentin qui est une belle ânerie crée par des gens stupides et désespérés. À ses yeux, rien n'est plus vrai que le sexe. Au moins, pas de tricheries - sauf si la personne simule, pas de peine. Que du plaisir à l'état pur - sauf si la personne ne sait pas y faire. Tout cela pour dire qu'elle n'est jamais tombée amoureuse, et qu'elle hait tout simplement l'idée du mariage. Son manager ne cesse de lui dire qu'un mariage est très bon pour l'image d'une star mais, il semble évident que le concept de l'amour est loin de plaire à la jeune femme, ni même le fait d'avoir des enfants. Devoir devenir grosse, souffrir pour un être qui va finir par coûter cher - même trop cher, et ne ressembler qu'à une loque vivante comme Britney Spears, non merci.

Son juron préféré en voiture, à scooter, à pied…
→ "Sale enculé, vas te faire foutre." Gisella est assez vulgaire au volant, et quand un conducteur la met dans une colère noire, elle se met à insulter la personne en Russe.
Un creux au milieu de la nuit ?
→ Une cuillère avec le pot d'Häagen-Dazs avec des bouts de biscuits Oreo.
Au petit déjeuner il/elle ne pourrait pas se passer de… (Nourriture ou autre)
→ Gisella ne peut jamais commencer une journée sans son café au lait, en ce qui concerne la nourriture, elle adore manger des Pancakes et du Bacon.
Il/elle se damnerait pour… (Nourriture, mode, utopie)
→ Passer une nuit avec George Clooney ou Clive Owen.
Expert culinaire ou expert du chili con carne prêt en 5 minutes au micro onde ?
→ La jeune femme cuisine très bien, mais cela ne l'empêche pas de se faire des plats surgelés ou de commander, parce qu'elle n'a pas toujours le temps de se faire à manger.
Quand il/elle se regarde dans le miroir il/elle se dit…
→ "Je t'aime." Assez prétentieuse, c'est sûr. Mais en même temps, qui ne le serait pas avec un aussi beau visage que celui de Gisella ?
Sa définition d’un “guilty pleasure”?
→ Avoir son propre harem d'hommes.
10,000$ à dépenser là, maintenant, tout de suite…
→ Gisella pourrait s'acheter une boite de nuit, autrement, pour un contexte plus raisonnable, avec 10,000$, elle pourrait faire le tour du monde avec un séjour prolongé en France et en Russie.

Gisella possède une telle collection de chaussures qu'elle pourrait nourrir plus d'une centaine de petits africains avec tout l'argent qu'elle a dépensé pour des chaussures.
Sa plus grande passion ? La danse. Mais elle a toujours rêvée de faire du cinéma, et compte bien arrivé à ses buts.
Est très bonne amie avec les membres des Pussycat Dolls.
Son père a dépensé une fortune pour une immense villa à Hollywood, pour sa fille chérie : une piscine intérieure, et extérieure, 5 salles de bains, 4 chambres, une salle de gym, une salle de cinéma, deux cuisines - d'ailleurs, Gisella n'a jamais compris le but, bref, un vrai palais.
Elle possède un adorable petit chien qu'elle surnomme Froggy. Mais elle ne s'en occupe que rarement, elle a d'ailleurs engager une personne pour l'éduquer.
L'amour pour elle ? "Une belle saloperie, pire que la drogue."
Gisella est égoïste, et cela lui a bouffé le moral quand elle a dut donner de l'argent à des œuvres de charités pour se faire bien voir lors de sa période "photos sulfureuses".
Peut se vanter d'avoir couché avec une bonne partie des stars d'Hollywood - ou en tout cas, c'est ce qu'elle fait croire.
Adore s'acheter des guitares - alors qu'elle ne sait pas en jouer, pour finir par les fracasser au sol. Le souhait de se prendre pour une rock star, ou simplement, son cerveau qui déraille? Bonne question.
Elle est allergique à la lavande et à la laine.
Sa plus grande folie a été de se raser le crâne comme Demi Moore.
Pour séduire les hommes, elle adore dire des choses peu catholiques en russe. Mais elle adore aussi insulter en russe, donc, les gens ne savent jamais si c'est bon ou mauvais quand elle commence à parler la langue de ses parents.
Son bronzage est un faux, régulièrement, elle va dans des cabines pour se faire un bronzage type, californien.
Son but dans la vie : se marier avec Guillaume Canet. Autrement, si cela ne se fait pas, elle veut au moins coucher avec.
Gisella en fait voir des vertes et pas mûres à son agent.
Fais venir du thé de Russie, un thé à framboise, le seul thé qu'elle aime, d'ailleurs.
Chante affreusement mal.
Possède un journal intime qu'elle planque sous le tapis de ses toilettes.
Gisella ne boit que du champagne ou de la vodka pure.
C'est une adoratrice du café au lait.
Possède une perruque rose bonbon qu'elle s'amuse à porter en soirée.
Gisella s'est trouvée une nouvelle passion : les femmes. Malgré qu'elle aime toujours autant les hommes, elle apprécie la douceur chez la femme, et puis, ça change, et les sensations ne sont pas les mêmes.
Sa mère lui a toujours conseillée de se faire agrandir la poitrine, la jugeant trop petite.
Gisella entretient une relation non-exclusive avec Ginger Williams.

AVATAR : NATALIE PORTMAN.

SURNOM/PSEUDO : L'Arbre à Cerises.
SEXE : Naméoh, je t'en pose des questions peut-être ?
AGE : JEUDI JE VAIS AVOIR 18 AAAAAANS.
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Par GA.
COMMENTAIRES ?

CARRIÈRE • RATE • SOIRÉE MONDAINE • ALCOOL • SEXE.
Encore une soirée ennuyante où la jeune Russe devait se rendre à une de ses soirées très médiatiques, où elle allait devoir répondre à des questions par des petits journalistes qui ne cherchaient que le vice dans chaque parole dites. Mais qu'avait-elle à se plaindre ? C'était grâce à ces gens-là qu'elle était toujours autant appréciée, ou plutôt populaire. Car aimer lui semblait un bien grand mot. Mais une certaine amertume se laissait lire sur son visage, quand aurait-elle l'occasion de prouver son talent. Cela faisait quelques semaines qu'elle prenait des cours dans un théâtre très connu de la ville pour devenir actrice ou comédienne. C'était un rêve d'enfance, qui n'était que plus présent chaque jour de sa vie. Gisella avait eu la chance de débuter par le mannequinât, mais au final, elle s'était remarquablement éloignée de son but ultime : le cinéma. Et quand elle cherchait à en parler à son manager, il ne faisait que lui rire au nez, comme si elle était bien trop stupide pour pouvoir faire quelque chose d'intéressant. Mais ce soir-là, son cher manager remarqua le malaise de sa star.

« Gisella, que se passe-t-il ? »
« Je vais devoir faire bonne figure combien de temps ? » Avait-elle dit en se regardant dans le miroir, pour réajusté sa coiffeur qu’on venait de lui faire.
« Ne touches pas à tes cheveux. Et je ne sais pas, le temps qu’il faudra. »
« Mais ça fait plus d’un an que ça s’est passé ! Je ne vais pas donner tout mon argent à ces stupides gosses qui sont dans la misère. »
« Ces stupides gosses, comme tu dis, sont plus dans le besoin que toi. Eux, ils n’ont pas Papa qui donne des sous quand ça va mal. »
« Et alors ? Je fais un sur place, ma carrière n’avance pas. »
« Mais si, elle avance. Tu es très souvent dans les magasines. »
« Ouais, dans les magasines à scandale. »
« Tu ne crois pas que c’est mieux que rien ? » Gisella s’était tournée vers lui.
« Si. Mais j’aimerais bien prouver mon possible talent pour le cinéma. »
« Chaque chose en son temps ma chérie. Ne vois pas trop grand. »
« Quoi ? » Gisella l’avait fixée, visiblement vexée par les paroles qu’avait employées son manager.
« On doit y aller. »

Quinze minutes plus tard.
Gisella foulait le tapis rouge, vêtu d’une très belle robe violette Dior, portant des Jimmy Choo qui lui faisait d’ailleurs atrocement mal aux pieds. Posant comme si cela était un automatisme, un journaliste l’interpella non loin de là. « GISELLA. » Avec un sourire à la Colgate blancheur, elle s’était approchée de lui avec son manager derrière elle ainsi que quelques personnes dont elle ne se souvenait même plus des noms.
« Nous avons quelques questions pour vous. »
« Allez-y. » Gisella affichait peut-être un air particulièrement agréable, mais au fond, elle espérait rejoindre son lit ou se faire une bouteille de champagne à elle toute seule.
« Tout le monde remarque que vous êtes très généreuse, puisque vous donnez énormément d’argents à des associations. Vous vous sentez réellement concerné par la misère dans le monde, ou est-ce juste une image ? »
« Le bien-être des gens est important à mes yeux. Et puis, j’ai trop d’argents, autant en faire quelque chose. »
« Avant tout ce scandale, vous étiez une mannequin très appréciée. Principalement par les marques de haute couture telle que Dior et Vera Wang. Qu’est-ce que ça vous fait d’avoir été rejetée de la sorte ? »
« Et bien, cela ne me fait pas grand chose, je pense que je le mérite. Ses photos ont détruits une bonne partie de ma future carrière, puis, je ne pense plus être rejetée puisque ce soir je porte une Dior, qui a été particulièrement dessiné pour moi. »
« Pourtant, il me semble que vous la portiez l’année dernière à une fashion week à Paris ! » Gisella le fixa soudainement sans même répondre. C’était vrai que cette robe n’était en rien récente, elle l’avait bien porté l’année passée. Le micro toujours tendu vers elle, Gisella était prête à lui arracher des mains, et le faire avalé à ce stupide journaliste qui semblait amusé par la gêne de la jeune femme.
« Vous savez, avec la crise… » Mais le journaliste la coupa.
« ... J’oubliais que la crise avait bon dos, surtout à Hollywood. Et pour votre future carrière ? »
« Et bien, ma carrière est en suspend. Pour l’instant, on s’occupe surtout de l’image que je… » Son manager l’avait légèrement tiré en arrière, pour prendre sa place. « Gisella a eu quelques propositions qu’elle est entrain d’examinées. C’est tout pour les questions, merci. »

Puis, ils s'étaient finalement éloignés, Gisella, le visage fermé, n'attendait que de se retrouver seule avec son manager pour lui crier dessus, histoire de se défouler un peu. « Garde ta bouche fermée ce soir. Tu as fais suffisamment de dégâts. » Gisella, prête à répondre, n'eut malheureusement pas ce plaisir, puisque son manager se volatilisa. La salle était emplie de personnalités toutes plus connus que les autres, mais pourtant, Gisella ne se socialisa en rien. Prenant place sur un siège plus ou moins confortable, elle retira enfin ses chaussures sous le regard choqué des personnes qui se trouvaient près d'elle. Après tout, ce n'est pas comme si elle ne sentait pas bon des pieds, c'était juste que c'était très mal vu. Mais un peu plus, un peu moins, cela ne lui faisait rien. Sa soirée était déjà une catastrophe, Gisella s'imaginait déjà les titres du lendemain, qui dirait qu'elle n'avait aucun projet pour l'avenir, et qu'elle se contrebalançait des orphelins. D'un côté, c'était vrai, mais son manager allait encore dire qu'elle aimait attiser le feu. Mais à la limite, sans ça, elle ne serait plus célèbre comme elle pouvait l'être aujourd'hui. Se massant légèrement les pieds, Gisella releva la tête, et fut surprise de voir une jeune femme devant elle, deux coupes de champagne à la main.

« Vos pieds, ça va ? »
« Euh. On va dire qu’ils ont connu mieux. »
« C’est le souci avec les Jimmy Choo, ses chaussures sont magnifiques, mais, elles font sacrément mal aux pieds. » Gisella ne put retenir un rire, tout en approuvant d’un signe de tête.
« Ginger Williams. Vous êtes Gisella Gvozdev? »
« Je sais qui vous êtes, et puis, oui, c’est bien moi. » Puis cette fameuse Ginger lui tendit une coupe de champagne.
« Le mal de pieds passe toujours plus vite quand on boit du champagne. » A peine avait-elle prit la coupe que Gisella l’avait déjà descendu. Ginger rigola en prenant place à côté de Gisella.
« Cette soirée. Avec tout le gratin d’Hollywood. Je n’ai jamais vu une soirée aussi barbante. »
« Ne m’en parlez pas. J’espère pouvoir vite partir, histoire de sortir dans le club d’Isaac Delweet. »
« Isaac Delweet ? »
« Vous le connaissez ? »
« Oui. C’est un ami. »
« Dans ce cas, il faudrait qu’on y ailles ensemble. »

Un peu plus tard dans la nuit.
« Tu as les consommations gratuites ? »
« Oui. C’est ça quand le gérant fantasme sur moi. » Ginger rigola avant de descendre un verre de vodka pur, suivit de près par Gisella.
« Tu es russe, la vodka, ça doit être comme de l’eau pour toi ? »
« Non. Je suis née à Las Vegas, mes parents sont russes, je n’ai que des origines, je suis Américaine. »
« Ah. Parce que tu as l’accent russe. »
« J'ai d'abord appris à parler russe, mes parents refusaient qu'on parle anglais entre nous. »
« C’est très sexy. » Le regard de Ginger et Gisella s'accrocha subitement, avant qu'elles éclatent de rire au même moment. Pourtant, le moment n'avait pas été gênant, loin de là. Enchainant verre sur verre dans le carré VIP, les deux jeunes femmes semblaient à présent particulièrement éméchés, bien que toujours suffisamment consciente, ou alors, était-ce qu'une image ? En tous les cas, la suite de la soirée semblait déjà bien tracée. Prenant toutes les deux un verre de champagne, Candyshop de 50 cent raisonna soudainement dans la boite de nuit. Les deux jeunes femmes se rendirent sur la piste de danse en commençant directement par une danse des plus serrées. Gisella laissa ses mains se baladaient de façon pressantes sur le corps pulpeux de sa nouvelle amie. Finissant sa coupe de champagne, on remarquait bien que les deux jeunes femmes étaient complètement imbibées par l'alcool. Et pourtant, leurs gestes se faisaient toujours aussi pressantes sur le corps de l'une et l'autre, et les rares garçons qui se trouvaient près d'elles fixaient la scène. Mais les deux jeunes femmes avaient soudainement oubliés les gens autour, découvrant un nouveau jeu des plus inédits, peut-être un peu moins pour Gisella. Elles ne se souciaient d'ailleurs pas des possibles journalistes qui pouvaient se trouver proches d'elles, puisqu'elles échangèrent un baiser des plus passionnés. Qui a dit que les femmes n'étaient pas aussi désirables que les hommes ? Bon, bien sûr, les hommes avaient certains outils que les femmes n'avaient pas, mais cela semblait encore plus excitant, surtout quand il s'agissait de nouveautés. La musique pris fin, et les deux femmes ne se séparaient pourtant pas l'une de l'autre. « On va chez moi ? » Et c'est ainsi que s'instaura une histoire bien compliquée entre les deux jeunes femmes. Purement sexuelle et platonique, mais secrète, évidemment. Puisqu'elles ne souhaitaient en rien devenir les nouvelles Lindsay Lohan, puis Gisella et Ginger appréciaient bien trop les hommes pour devenir exclusives, les sachant toutes les deux très volatiles.

ALCOOL • FANTASME.
Minuit trente, et Gisella se trouvait déjà devant la boite de nuit de son cher ami, Isaac. La soirée avait été longue puisqu'elle avait dû se rendre à une de ses œuvres de charités pour se faire bien voir, après ce grand scandale à cause de ses photos où Gisella se trouvait nue, son manager lui avait organisé des tas d'évènements pour se racheter aux yeux de l'Amérique puritaine. Mais, Gisella s'en fichait tellement qu'on remarquait tout particulièrement son ennuie lors des soirées où elle devait donner des gros chèques. Depuis quand devait-elle donné son argent, alors que tout le gratin savait combien Gisella était une jeune femme égoïste, très portée sur l'argent, ainsi que sur sa future fortune. Mais elle devait faire bonne figure, c'était ainsi et pas autrement. La Russe s'était alors enfuit en douce, était rentrée chez elle, et avait enfilé une tenue un peu plus adapté à l'endroit où elle se rendait. Cette discothèque était devenue une seconde maison pour elle, Isaac lui offrait tout, d'ailleurs, elle avait toujours eu cette sensation d'être une petite princesse là-bas, ce qui ne la flattait qu'un peu plus à chaque moment. C'est alors que son téléphone portable se mit à sonner alors qu'elle était entrain d'enfiler sa robe, ma foi, assez étroite. Affichage : Isaac. En parlant du loup.

« Isaac. Mon chou. »
« Gisella. Tu te ramènes bientôt ? »
« Je suis en train de m'habiller, mais il va falloir que je prenne un taxi, mon chauffeur a disparu de la surface de la planète, quel con. »
« Attends, tu te fou de moi ? Un taxi ? »
« Je sais. »
« Impossible, je refuse qu’une fille de ton genre prenne un taxi. J’envoie quelqu’un te déposait une de mes voitures personnelles. »
« Ton Aston ? »
« Non. Ma Mercedes. »
« Non. » Le ton avait été fermé. Malgré le fait qu’elle aimait la Mercedes de son ami. « Ca n’ira pas avec ma tenue. » Une bien mauvaise excuse.
« Très bien, je t’envoie mon Aston. Mais tu fais attention. Tu sais combien j’y tiens. »
« T’inquiètes pas pour ça, tu sais que je suis prudente. »
« Mouais. » Puis il avait raccroché sans même attendre une quelconque réponse de Gisella. En réalité, elle était un vrai danger, surtout quand elle avait déjà bu quelques verres, chose déjà fait. Et malgré qu’elle fût encore consciente de ses faits et gestes, savoir qu’il allait lui faire venir son Aston, donnait à la jeune femme russe, une soudaine envie de danser.

Prête, pomponnée, et on ne peut plus sexy – comme le dirait Isaac, la jeune femme se trouvait devant sa maison – ou plutôt son palace, quand une Aston noir se gara devant sa demeure. Folle de joie, prête à prendre le volant, le chauffeur l’arrêta. « Excusez-moi Mademoiselle, mais monsieur Delweet préfère que je vous conduise. » Face à l'air outrée de Gisella, le chauffeur finit par lui laisser les clés, sans oublier de regarder ses chaussures vernis, de peur de se faire attaquer violemment par la jeune femme. « Merci. » Puis, Gisella était finalement partie au volant de cette belle voiture. Seulement, pendant la route, à une vitesse peut-être un peu trop élevée - plus de 150 km/h, c'est ainsi que l'inévitable se produit. Voulant éviter un animal, la russe avait cherchée à empêcher la collision pour éviter toute égratignure à la voiture, mais elle avait finalement fait pire que mieux, puisqu'elle brisa le par brise, et raya le côté droit de la voiture. Sous le choc, non loin de la boite de nuit, Gisella finit le chemin à pied, Isaac l'attendant devant les portes.

« Où est l’Aston ? »
« Merci, moi aussi je suis contente de te voir. »
« Gisella ! »
« C’est bon, no stress, un chauffeur a été la garée. » Puis la soirée continua, Isaac semblait être rassuré, sauf quand la discothèque ferma ses portes au petit matin, Gisella accrochait au bras d’Isaac, c’est, soudainement, qu’elle se souvint d’où se trouver la tendre et chère voiture d’Isaac.

« Où est ma voiture ? » Avait-il dit à l’un des chauffeurs.
« Euh… Votre Aston n’est pas là Monsieur. »
« J’avais vraiment pas remarqué. » Isaac s’était alors tourné vers son « amie », et avait dit d’une voix froide. « Où est ma voiture Gisella ? »
« Euh… Quelque part ? » Sourire crispé, prête à recevoir un coup de bâton. Elle savait combien il tenait à cette voiture.
« Tu te moques de moi ? »
« Je te promets que je te donnerais l’argent pour que tu puisses la faire réparer, ou je t’en achèterai une nouvelle, je te promets. »
« Elle m’a coûtée une fortune Gy, je l’ai fais venir d’Angleterre. Tu te rends comptes ? »
« … Non. »
« Tu m’énerves. Je savais que je n’aurais pas dû te la prêter. Tu es la fille la plus mauvaise conductrice en ce bas-monde. »
« Tu m’offenses Isaac. »
« J’en ai strictement rien à branler. » Gisella s’était alors posté en face du garçon, en mettant ses bras autour de son cou, difficilement stable, puisqu’elle était sur la pointe des pieds. Son visage n’était qu’à quelques centimètres de Delweet. « Je suis désolée. Comment je peux me faire pardonner ? » A cette simple question, Isaac avait passé un bras autour de la taille de la russe, et l'avait collé à lui, sans pouvoir retenir un sourire. « J’ai peut-être une idée, une très bonne idée même. »

La brune éclata de rire. « Pervers. » Sans pour autant se séparer de lui, elle se mit à faire glisser sa main le long du torse d’Isaac, soudainement sérieuse, sa bouche à quelques centimètres de celle d’Isaac. « C’est ta présence qui me rend comme ça. » Faisant des caresses plus appuyés, elle laissa glisser sa main en dessous du nombril du jeune homme, prête à rejoindre un endroit fatidique, en dessous de la ceinture de celui-ci. « Je suis fatiguée, je vais rentrer. » Puis, elle s’était finalement séparée de lui avec un sourire espiègle. Isaac, le regard fiévreux, semblait assez vexé par l’attitude de la jeune femme. « Tu peux pas me laisser comme ça putain ? »

« Et pourtant, je vais me gêner. Patience mon chou. Puis, tu connais le système contre ça, prends une douche bien froide, ou trouve toi une groupie que tu pourras faire gémir alors que tu penseras à moi. » Puis elle s’était enfuie à la recherche d’un taxi, histoire de dormir un peu avant d’être rejoins par son manager. Laissant le pauvre Isaac à son pauvre désespoir.

Welcome^^
Ouiii Nathalie

Lahav McCoy a écrit:Natalie
Je te préviens d'avance, Gisella va être le fantasme de Lahav

Isaac Delweet a écrit:Déesse ou comment démonter la réputation de mon perso en cinq minutes.
Oui mais même, après tout ce qu'il a fait pour elle, elle pourrait au moins satisfaire ses désirs. Et puis, elle lui est d'autant plus redevable vu comment a fini sa voiture. Alors hein, pouet-pouet.